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Les dangers de ne pas traiter une commotion cérébrale

Une commotion cérébrale est une lésion causé par un coup ou un impact qui peut perturber le fonctionnement du cerveau. Les impacts qui peuvent causer une commotion cérébrale sont tous les impacts au niveau du crâne, des fois même, tout simplement un impact entre le cerveau et l’intérieur du crâne. Il suffit que le cerveau percute suffisamment fort contre le crâne, et la commotion peut être faite.

Il ne faut jamais sous-estimés une commotion cérébrale du au fait qu’elles affaiblissent certaines capacitées humaines. Si elles ne sont pas traités, elles peuvent causer des conséquences majeures à long termes. Les gens qui ne font pas traiter leur lésion cérébrales, peuvent souffrir de maux de tête, de fatigue et de difficulté à ce concentrer.

La douleure invisible

Le fait que les commotions cérébrales sont des blessures “invisibles”, les rends très difficiles à traiter. C’est une blessure qui n’est pas visible à l’oeil nu et en rayons X, c’est une blessure communément ignoré du au fait qu’elle est perçu souvent comme un simple mal de tête. Le stéréotype que l’on souffre d’une commotion cérébrale seulement lorsqu’on a un impact à la tête, et qu’on perd connaissance lorsqu’on subit une contusion, est très fausse. Il suffit qu’il y ait un mouvement un peu trop agressif qui ne fait que secouer le cerveau dans le crâne.

Toutes les commotions cérébrales ont un effet qui endommagent un peu plus le tissu cérébrale et selon une règle générale, après trois commotion cérébrale, il y a plus de chance que les effets et les séquelles soient plus permanentes ce qui affecterait de façon significative le fonctionnement de la mémoire, des réflexes, et de tous les autres fonctionnement du cerveau. 

Dû au commotions cérébrales, le vieillissement du cerveau d’un individu, est accéléré. Les conséquences d’une telle blessure ont un effet sévère et à long terme si une personne souffre de plusieurs blessures. A long terme, le cerveau peut avoir du mal à fonctionner et à réagir en fonction de la sévérité de l’impact. Il est encore plus important de garder un oeil sur les commotions cérébrales sur les jeunes, dû au fait qu’il y a une grosse croissance à faire pour le cerveau encore alors le vieillissement peut ce faire mal dû à ces commotions.

L’évolution des commotions cérébrales dans la National Football League(NFL)

Durant les deux dernières décennies, il y a eu des changements drastiques au niveau des régulations et des évaluations pour les commotions cérébrales dans tous les sports de contact, principalement dans le football américain.

Tout a commencé en 1994 lorsque la National Football League (NFL) a décidé de créer un comité qui serait responsable de toutes blessures à la tête que ce soit interne ou externe et l’on appeler : le comité sur les lésions cérébrales traumatiques légères.

Les cas sérieux

C’est en 2002 que le premier cas sérieux de commotion cérébrale a eu lieu lorsqu’une étude a été faite par le Dr Bennet Omalu. Cette étude a été faite après le décès du joueur retraité des Steelers de Pittsburgh, Mike Webster, qui a mis fin à ses jours. Selon le Dr Omalu, l’ancien joueur souffrait d’une maladie chronique nommée encéphalopathie traumatique chronique (ETC) qui est due aux coups à répétition au cerveau. Cette maladie causerait des symptômes d’amnésie et de démence, c’est ce qui aurait amené à la mort de Webster.

En 2005, le comité sur les lésions cérébrales traumatiques légères avait annoncé que les commotions cérébrales ne démontrent aucun risque de répercussions secondes. C’est plus tard dans cette même année que le Dr Omalu, a encore examiné deux anciens joueurs de la NFL, Terry Long et Andre Water, tous deux ce sont enlevé la vie à cause de la même maladie que Webster, l’ETC.

Quatre ans plus tard, en 2010, la NFL renomme le Comité sur les lésions cérébrales traumatiques légères, par le Comité tête, cou et colonne vertébrale. Durant l’année qui suit, la ligue nationale décide de changer ses règlements et d’imposer des amendes aux joueurs qui décideraient de jouer avec une commotion cérébrale et/ou les joueurs qui rentreraient en contact intentionnellement avec la tête ou le coup d’un adversaire.

En 2011, l’ancien joueur des Bears de Chicago, Dave Duerson, ce suicide d’une balle dans la poitrine au lieu de la tête pour épargner son cerveau et que des recherches soient faites sur celui-ci. Ce qui est le même cas que l’ancien joueur des Falcons d’Atlanta, Ray Easterling, et l’ancien joueur des Patriots de la Nouvelle-Angleterre, Junior Seau. Ces trois cas ont été examinés et il y a été déterminé que les trois anciens joueurs souffraient d’ETC.

Dénouement

C’est après plusieurs plaintes et poursuites en justice que la NFL, a finalement accepté de payer les frais médicaux de ses joueurs atteints d’ETC et qui ont souffert de commotions cérébrales. Certains de ses paiements atteignent la somme de 5 millions de dollars.

La vie après une commotion cérébrale

Plusieurs de nos articles sont concentrés sur les adaptations faites par les grandes corporations sportives pour accommoder la science et les commotions cérébrales. Cependant, il y a un volet important à ce sujet qui ne suscite pas autant d’attention : la vie après une commotion cérébrale. Il est facile pour plusieurs de croire qu’après un coup sérieux à la tête, la vie continue comme si de rien n’était, cependant, ce n’est pas le cas. Une vie change complètement. Il faut faire plusieurs ajustements.

Il est difficile pour plusieurs de comprendre la sévérité d’une commotion cérébrale si une personne ne l’a jamais vécu. De plus, il est important de comprendre à quel point une blessure comme celle-ci peut changer une vie de tous les jours. Par exemple, le simple fait d’entrer en contact avec une forme de lumière peut causer une douleur extrême à la personne blessée. Habituellement lors des jours suivant une blessure de ce type, les docteurs suggèrent fortement de rester au lit pour une période d’une à deux semaines. Le tout doit être complété sans avoir contact avec un téléphone intelligent ou télévision. La qualité de vie pendant cette période n’est pas bonne. 

Une vie différente

Les athlètes frappés par ces commotions cérébrales sont aussi plus aptes à en avoir d’autres. Ceci est le cas d’Hendrix Lapierre, joueur de hockey junior qui en est à sa troisième en moins de deux ans. Sa dernière était en raison d’une mise en échec qui semblait banale pour plusieurs. Malheureusement, en raison de ses commotions précédentes, sa tête ne peut absorber des contacts comme elle le pouvait auparavant. De plus, il y a une maladie qui persiste dans quelques cas après avoir eu des commotions cérébrales nommés ’Encéphalopathie traumatique chronique’’ ou ‘’ETC’’. Cette maladie est la raison pourquoi quelques athlètes ont décidé de prendre leur propre vie. 

Les séquelles d’une commotion cérébrale suivront un humain pour le restant de ses jours. La seule et unique façon d’être en mesure d’avoir une bonne qualité de vie est de prendre soin de la tête et du cerveau. Plusieurs personnes devront adapter leur vie d’une façon ou d’une autre. Par exemple, quelques athlètes professionnels ont dû prendre leur retraite pour vivre une bonne vie après le sport. Ceci démontre qu’il ne faut jamais prendre ces blessures à la tête à la légère, elles peuvent ruiner des vies. 

L’adaptation des sports professionnels en ce qui concerne les commotions cérébrales

Les commotions cérébrales jouent un rôle important dernièrement dans le monde du sport professionnel et mineur. La Ligue Nationale de Football (LNF) est au centre de plusieurs controverses liées à ce sujet depuis quelques années déjà. On se rappelle du film ‘Seul contre tous’’ ou ‘’concussion’’ en anglais (2015) qui mettait en scène un docteur qui avait découvert les effets négatifs des coups à la tête. Une maladie nommée ‘’Encéphalopathie traumatique chronique’’ ou ‘’ETC’’.

Un monde différent

Le mois dernier, une vidéo des années 80 à fait surface sur les médias sociaux qui mettaient en scène des faits saillants de la LNF dans les années 70 et 80. L’objectif primaire de cette vidéo était de promouvoir le sport au citoyen américain dans le but de vendre des billets. Dans la vidéo, il n’y avait que des coups violents commis. Plusieurs joueurs étaient blessés sur le terrain et c’était cela le point vendeur de la vidéo. Il faut aussi mentionner que la LNF éprouvait plusieurs difficultés financières pendant ces années, voilà pourquoi plusieurs vidéos de ce genre ont vu le jour pendant cette période de temps. Le point le plus intéressant de cette situation est que tous les faits saillants sont maintenant connus comme des jeux illégaux, qui termineront en pénalité. Bref, à cette époque, les coups violents et les blessures n’étaient pas vus d`une manière négative comme de nos jours, c’était plutôt vue comme un point nécessaire au football. Depuis ce temps-là, plusieurs documentaires exposant les dangers des blessures à la tête ont vu le jour. Cela signifie que le peuple et les partisans du football connaissent dorénavant la gravité des blessures de leur sport bien aimé.

Une situation semblable au hockey 

Un autre sport avec beaucoup de contact et de jeu physiques est le hockey. La LNH (Ligue Nationale de Hockey) a elle aussi été obligée d’implémenter des changements au niveau de la sécurité des joueurs. Maintenant à chaque rencontre, il y a un observateur de la ligue qui est présent pour déterminer si un joueur, après avoir reçu un coup dangereux, devrait quitter la rencontre pour se faire examiner par un docteur. Ce changement a grandement aidé aux blessures au niveau de la tête dans la LNH.

Il y aura toujours des blessures à la tête dans le sport, cela ne changera jamais. Cependant, avec une nouvelle attention portée sur ce sujet, les athlètes professionnels sont de moins en moins apte d’obtenir de blessures graves. 

Éduquons-nous assez les jeunes athlètes sur les dangers des commotions cérébrales ?

Ici au Canada, il y a de millions d’enfants qui jouent à divers sports pour s’amuser hors des heures d’école. Quelques de ces jeunes ont découvert qu’il avait un talent dans un certain sport, donc, joué à un niveau élevé. Le but final est bien évidemment d’atteindre les rangs professionnels pour plusieurs de ces joueurs talentueux. Le désire de vouloir atteindre un niveau supérieur dans son sport respectif peut cependant nuire à la santé de ces athlètes. 

Une éducation presque non présente

Dans notre pays, le hockey est bel et bien le sport le plus populaire chez les jeunes athlètes. Cependant, il n’y a pas d’éducation concrète en ce qui concerne les blessures à la tête au hockey mineur. Au début des années 2000 jusqu’en 2011, le hockey contact commençait à l’âge de 9-10 ans, soit le niveau ‘’Atom’’, en Ontario. Maintenant, le tout débute au niveau ‘’bantam’’ ou à l’âge de 13-14 ans. Les raisons derrière cela ? Les dirigeants des ligues mineures de l’Ontario croyaient qu’il y a avait un nombre trop élevé de blessures liées aux mises en échec. Le manque de maturité des enfants âgée de 13 ans et moins était aussi utilisé comme raison selon ces mêmes dirigeants. Est-ce que le tout serait différent s’il  y avait une éducation adéquate au niveau des risques des mises en échec en Ontario ? 

La violence à un très jeune âge

Comment améliorer la situation ? 

Cette situation en est une qui peut être améliorée facilement. Il faudrait premièrement que les ligues responsables du hockey mineur au Canada dédient quelques employés à se concentrer sur l’éducation de ces blessures. Ceci permettra d’avoir la même éducation tout au long de la carrière de hockey mineur des jeunes joueurs. Ensuite, il faudrait obliger une rencontre à chaque début d’année avec chacune des équipes pour parler de ce sujet qui peut être considéré comme tabou par plusieurs. Ces Rencontres seraient dirigés par un spécialiste dans le domaine, comme ça, le message sera pris au sérieux. L’instauration de ces rencontres permettrait ensuite aux athlètes comment insérer le jeu physique au hockey et le faire de la bonne manière. 

Pour assurer la sécurité des athlètes dans le sport mineur, l’éducation du sujet est la meilleure des options pour plusieurs raisons. Après avoir éduqué ces athlètes, il sera possible de commencer à jouer avec des mises en échec dès un jeune âge. 

Les blessures les plus courantes au Rugby

Le rugby étant un des sports le plus violents et agressif au monde dû au fait que les athlètes n’ont pas de protection à l’exception de certains joueurs qui porte un casque de protection. Le rugby est un sport de contact très violent avec grande rapidité, les joueurs ont souvent des gabarits imposants et quand ils rentrent en contact l’un avec l’autre, le choc peut être violent.

Voici les 5 blessures les plus communes dans le monde du rugby :

Les déchirures musculaires

C’est appelé plus souvent des « claquages », c’est très souvent une blessure qui peut durer jusqu’à 6 semaines avec beaucoup de physiothérapie. Les déchirures les plus communes sont les jumeaux du mollet, le quadriceps et ischiojambier (ACL, MCL).

Les commotions cérébrales

On décèle de mieux en mieux les commotions cérébrales de nos jours dues à tous les protocoles qui sont maintenant mis en place. De nos jours, les joueurs sont de plus en plus sortis dès le début des symptômes, même si ce n’est pas officiel que l’athlète souffre d’une commotion. C’est une des blessures les plus graves parce qu’elle peut malheureusement durer sur une très longue période.

Morgan Para, demi-d’ouverture de Clermont-Ferrand, couché au sol après avoir souffert d’une commotion cérébrale

Les traumatismes de l’épaule

Ceux-ci sont des blessures comme des luxations, des fractures et les entorses. L’épaule est l’une des parties du corps les plus utilisées lors d’un match de rugby dû au fait qu’elles sont utilisées pour faire des passes et des tacles. C’est majoritairement durant les tacles que les joueurs ont tendance à se blesser à l’épaule. Lorsque l’épaule est touchée, il faut faire attention que la clavicule ne le soit pas ; très souvent lorsque la clavicule est touchée, il est nécessaire d’avoir une opération pour remettre en place et pour solidifier l’épaule.

 Les pubalgies

Cette blessure représente 20 % des blessures chez les joueurs de rugby. Ce n’est pas une blessure qui empêche de jouer, mais à la longue, la douleur devient insoutenable. Ce n’est pas une blessure due à un coup, mais bien des inflammations majoritairement du temps. La symphyse pubienne peut entraîner un arrêt de carrière, c’est une inflammation majeure de la zone pubienne de l’homme. La seule manière de soigner cette blessure est le repos et l’infiltration de cortisone.

La rupture du tendon du biceps

Le tendon du biceps est souvent victime d’impact violent suite à l’impact et un arrachement brutal suivi d’une contraction vive lorsque le muscle se déchire. C’est le moment ou le biceps lâche son attachement avec l’épaule ou à son autre extrémité avec le coude. Cette blessure peut durer jusqu’à 3 à 4 mois d’arrêt et si la blessure n’est pas juste un micro déchirure du biceps, il est nécessaire de faire une chirurgie pour rattacher le muscle.

L’évaluation et la prise en charge des commotions cérébrales

Les commotions cérébrales liées au sport constituent un sujet d’importance avec l’évolution des règlements et la montée des protestants contre les sports de contact. Avec l’évolution des sports, les jeunes se retrouvent de plus en plus souvent face à face avec un expert pour faire une panoplie de tests pour évaluer leurs capacités mentales et évaluer l’évolution et la croissance de leurs cerveaux.

Lorsqu’une commotion cérébrale est soupçonnée, il y a un déroulement pour l’évaluation. C’est à dire, qu’il y avait plusieurs étapes avant de retourner au jeu et de pouvoir se remettre en condition “normale”.

L’évaluation, les signes et les symptômes, la prise en charge, les lignes directrices de la remise en forme, le retour à l’école et le retour au jeu sont toutes des choses qui sont prises en compte lorsqu’on évalue l’évolution et les effets d’une commotion cérébrale.

Les styles de tests

Évidemment lorsqu’on souffre d’une commotion cérébrale, il faut passer un certain nombre d’examens pour voir le point de départ du cerveau et son rétablissement pour voir le changement et l’évolution. Il existe deux styles de tests pour évaluer une commotion cérébrale: l’imagerie diagnostique, qui est des tests et des images faites en rayon X du cerveau, du crâne. Ce test est surtout utilisé afin de vérifier s’il n’y avait pas plus de séquelles du genre saignement interne, microfracture de la boîte crânienne.

Le deuxième test est les tests neuropsychologiques, ils consistent à faire des tests avant que la commotion ait lieu. Faire des tests de base qui auront plein de différents buts qui pourront être refaits après la commotion. Il est utile d’avoir des résultats de tests effectués avant le traumatisme afin d’évaluer l’impact et le changement après la commotion cérébrale. Ce sont des tests qui évaluent le développement cognitif, le temps de réaction, la mémoire à court terme, la mémoire à long terme et la réception de nouveaux apprentissages.

Une fois les évaluations faites, il y a une prise en charge faite pour assurer le bon retour en forme du cerveau et le retour en forme de la personne. Les étapes sont le repos cognitif, qui est là pour réduire et limiter les efforts cognitifs, l’accroissement des tâches cognitives, la fréquentation de l’école selon un horaire modifié, l’accroissement de la fréquentation de l’école, protocole de retour au jeu et retour aux habitudes normales.

Les dangers de la boxe

Probablement l’un des sports les plus dangereux dans le monde du sport avec les arts martiaux mixte, la boxe a pourtant vu son taux de décès baisser dans les dernières années. Au total ce sont plus de 13 boxeurs par an, tant au niveau amateur que professionnelle, qui perdent la vie due à un combat. Jusqu’à présent quatre boxeurs sont morts en 2019. 

Qu’est-ce qui fait en sorte que la boxe perd autant de boxeurs ? Plusieurs raisons expliquent cela, mais les coups portés à la tête créent dans les cas de décès des lésions cérébrales qui mènent parfois au coma et parfois au décès. Un coup peut créer des caillots de sang au cerveau et ainsi couper la circulation du sang vers la tête. Il faut aussi noter que certains coups peuvent briser des os aux cerveaux qui peuvent ensuite mener à des complications.

Le boxeur Patrick Day est mort 5 jours après un combat d’où il était sorti en civière.

Au total près de 103 personnes pratiquant la boxe sont mortes dans les années 2000. Même si la boxe est vue comme très dangereuse, des études ont prouvé que seulement 0,13 de mille participants sur 1000 sont décès suite à la pratique de ce sport. Certains disent même que si la boxe est considérée comme dangereuse, il s’agit d’un sport moins dangereux que le football ou l’alpinisme ou encore la planche à neige. La boxe possède une impression que c’est plus dangereux en raison des coups directs qui sont portés à la tête. Surtout que l’impact de ces coups est énorme. On dit qu’une boule de bowling roulant à 32 km/h a le même impact qu’un coup de poing d’un boxeur à la tête.

Des blessures presque mortelles

Si les décès sont plus rares, on peut facilement l’associer au fait que la médecine a tellement fait d’avance dans les dernières années ce qui fait en sorte que certains boxeurs voient leur vie être sauvée. On peut penser au cas du boxeur québécois Adonis Stevenson qui est tombé dans le coma pendant quelques semaines suite à un combat. Stevenson doit désormais réapprendre à marcher, parler et à faire des petites choses dans la vie de tous les jours. Au bout de la ligne, Stevenson fait partie d’une lignée de boxeur qui a été chanceux dans leur malchance en ne subissant pas la blessure fatale.

Ces nombreuses blessures rendent alors la mort plus prématurée lorsque le boxeur devient plus vieux. On dit que les boxeurs souffrent parfois à l’âge adulte du syndrome de l’ivrogne. Il s’agit ici d’un syndrome qui donne des troubles neurologiques qui mènent à des troubles cognitifs.

Des sports aux blessures multiples

Le hockey étant considéré comme le sport le plus populaire au Canada, le football aux États-Unis et le soccer au niveau mondial, nous présentons donc les deux blessures les plus récurrentes dans chacun de ces des trois sports.

Hockey

  1. Contusions musculaires

La contusion musculaire est due à un coup directement sur le muscle qui détruit les fables musculaires. Il est souvent recommandé d’utiliser de la glace sur la région affectée et de la reposer de toute activité physique pendant une période en fonction de la gravité de la contusion.

  1. Entorse acromio-claviculaire

Il s’agit d’une entorse survenant à l’épaule et souvent due à une mise en échec ou à une chute sur la glace. Elle provoque tout de suite une douleur vive qui résulte en un gonflement de la région affectée de l’épaule. L’entorse acromio-claviculaire ou disjonction acromio-claviculaire résulte souvent en une période de repos de 2 à 6 semaines et une immobilisation de la région affectée.

Soccer

  1. L’entorse ligamentaire au genou

C’est une torsion de l’articulation qui entraîne une déchirure, un étirement et même, à certaines reprises, des déchirures du ligament. L’entorse va faire en sorte de limiter la possibilité de marcher, ainsi que de tendre et de plier le genou. Le ligament latéral interne du genou et le ligament croisé antérieur sont les deux régions touchées par l’entorse ligamentaire.

  1. L’entorse à la cheville

L’entorse va atteindre directement et sous divers degrés les ligaments de la cheville. Un tacle, la surface de jeu (ex. : terrains synthétiques) et l’équipement sont souvent en cause dans une entorse de la cheville. Les joueurs de soccer vont souvent effectuer des exercices de physiothérapie dans le but de rétablir la force dans leur cheville.

Football américain

  1. Une commotion cérébrale

La commotion cérébrale est un traumatisme crânien qui résulte en un coup à la tête, qui peut résulter à de la perte de mémoire, des maux de tête et même des vomissements. Il est conseillé d’éviter toute activité physique suite à la commotion, qu’elle soit sévère ou non. Dans des cas graves, le joueur de football affecté doit parfois éviter tout contact avec la lumière et rester reposer pendant plusieurs jours. Plusieurs autres blessures surviennent lors d’une saison de football, mais les commotions cérébrales sont probablement la blessure la plus récurrente parmi tous les joueurs .

  1. Dislocation de l’épaule

La dislocation survient lorsque l’humérus se déplace de son emplacement habituel. Elle souvent dû aux nombreux contacts entre les joueurs de football. Elle empêche le rallongement du bras le long du corps et donne une douleur vive et intense au joueur de façon immédiate. Elle nécessite souvent plusieurs semaines de rétablissement et du repos pendant une longue période. Les joueurs de football doivent souvent effectuer de la physiothérapie durant un mois ou deux pour revenir en pleine forme.

L’échauffement : Qu’est-ce que ça permet et quels sont ces bienfaits ?

Dans ce texte, nous allons présenter les bienfaits de faire un bon échauffement avant d’effectuer de l’activité physique dans le but d’éviter des blessures. Nous allons aussi mentionner l’importance d’avoir un bon échauffement après l’entraînement dans le but de bien récupérer et d’éviter une blessure.

Avant de faire n’importe quel exercice sportif, il est important de commencer avec un échauffement qui permet, en autres, d’étirer toutes les parties du corps qui seront utilisées lors de l’activité physique. Si vous courez par exemple, il est important d’étirer les muscles ischio-jambiers avant de courir et faire une petite course de 5 minutes dans le but de ne pas rentrer subitement dans des exercices trop vite. Cet étirement vous permettra d’éviter des risques de déchirures de claquage, d’élongations et de contracture. De cette façon, votre corps n’aura pas à subir un trop gros choc en entrant subitement dans l’exercice et s’adapte à l’effort physique que vous allez lui dicter.

Le but de l’échauffement est d’éviter que votre corps soit trop à froid pour un véritable effort physique. Ce n’est pas pour le rien que les athlètes professionnelles arrivent très tôt avant une partie. Ces derniers passent la majeure partie de leur pré-effort physique à s’échauffer et ainsi être prêt pour un effort physique maximale.

L’échauffement est aussi psychologique, la personne qui fait un effort physique, par exemple la concentration est un élément psychologique clé de l’échauffement, car il permet entre autres de réduire le stress. Il permet aussi une meilleure attention lors de l’activité physique, car l’échauffement est souvent long comparé à l’activité physique. Si vous êtes concentrés et en plein contrôle de moyens pour un échauffement, il y a de fortes chances que vous y soyez pour une activité physique.

Les effets

Les effets de l’échauffement durant l’activité physique sont nombreux.

Il permet l’augmentation du rythme cardiaque qui permet d’augmenter le flux sanguin et ainsi du même coup alimente les muscles. Plus le flux sanguin est élevé, plus les muscles seront sollicités.

S’échauffer permet d’améliorer la respiration et de l’accélérer. En éliminant du CO2, grâce à un haut effort physique, l’accélération va s’accélérer, car l’être humain va tenter de puiser de façon plus rapide son Co2, mais le corps va s’adapter à ce rythme plus élevé.

Faire un peu de courses ou d’étirements permet aussi d’augmenter l’élasticité des tendons.

On peut aussi augmenter la capacité de force des muscles, leur souplesse et leur amplitude.

Après la période d’activité physique

Il est conseillé de faire aussi un réchauffement après l’activité physique, soit entre 15 et 20 minutes. Il est par contre déconseillé de faire des étirements après une compétition, car les muscles peuvent avoir subi des micros-blessures.

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